mardi 28 février 2012

Mercedes installe des panneaux interactifs dans le métro berlinois

Pour communiquer sur ses vans Viano, le constructeur automobile allemand a apposé des panneaux publicitaires intelligents dans le métro de la capitale allemande. Ils sont capables de réagir à n'importe quelle clé de voiture.

Pour promouvoir ses vans Viano, Mercedes-Benz a imaginé une campagne originale à la station Friedrichstrasse du métro berlinois. 
Depuis le mois de février 2012, le constructeur automobile allemand a en effet installé des panneaux publicitaires intelligents
Ils s'animent lorsque les passants activent leur clé de voiture juste en face (et peu importe la marque d'automobile!).




Certains chanceux tirés au sort ont la possibilité de tester le dernier modèle de van Viano à la sortie du métro.
Cette campagne "Key to Viano" a été réalisée en partenariat avec WallDecaux (la société d'affichage issue de l'association entre JCDecaux et Wall AG).

Plus d'infos en images ci-dessous :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=d9PIgi1CnK0
 

Par Emilie Kovacs, 28/02/2012

Une musique qui donne la pêche !

Dédicace à mes collègues et à mes amis

 Hakuna Matata,
Mais quelle phrase magnifique
Hakuna Matata,
Quel chant fantastique !

Ces mots signifient
Que tu vivras ta vie,
Sans aucun souci,
Philosophie

Hakuna Matata

Ce très jeune phacochère
J'étais jeune et phacochère

Bel organe
Merci !

Un jour, quelle horreur
Il comprit que son odeur
Au lieu de sentir la fleur
Soulevait les coeurs.

Mais y'a dans tout cochon
Un poète qui sommeille.
Quel martyr
Quand personne
Peut plus vous sentir!

Disgrâce infâme (Parfum d'infâme)
Inonde mon âme (Oh ! Ça pue le drame)
Je déclenche une tempête (Pitié, arrête!)
Chaque fois que je ...
Non Pumbaa, pas devant les enfants!
Oh! Pardon!

Hakuna Matata,
Mais quelle phrase magnifique !
Hakuna Matata,
Quel chant fantastique!

Ces mots signifient
Que tu vivras ta vie,
Ouais, chante petit!

Sans aucun souci
Philosophie
Hakuna Matata!

Hakuna Matata,
Hakuna Matata,
Hakuna Matata,
Hakuna

Ces mots signifient
Que tu vivras ta vie,

Sans aucun souci,
Philosophie
Hakuna Matata!

Hakuna Matata,
Hakuna Matata,
Hakuna Matata

Trois vases Lego chez Monceau Fleurs

Le groupe spécialisé dans les fleurs proposera une série limitée de vases conçue par l'artiste officiel de Lego.


Chacune des trois enseignes du groupe Monceau Fleurs, Happy, Rapid'Flore et Monceau Fleurs, proposera dès le début du mois de novembre et jusqu'au 31 décembre un kit personnalisé "Le Fleuriste". Créée par René Hoffmeister, l'artiste officiel de Lego depuis 2007, cette série collector de 3 vases, limités chacun à 1000 exemplaires, cible les amateurs et nostalgiques du jeu de construction. Les trois créations seront mises en vente au prix de 19,90 euros et s'intitulent Pop Color pour Rapid'Flore, Blue Chic pour Monceau Fleurs et Arty Noir & Blanc, pour Happy.

Par Shirley PELLICER, 20/09/2010

Oscarisé, Jean Dujardin pourrait séduire les marques américaines



Avec l'Oscar décroché pour "The Artist", Jean Dujardin va-t-il rejoindre le rang des stars françaises (Juliette Binoche, Marion Cotillard...) devenues égéries de grandes marques internationales ? 

L'analyse de Paul Morizet, responsable du développement de GreenLight en Europe.

Ex-"star" de la série TV "Un gars une fille", vedette déjantée de "Brice de Nice" puis d’"OSS 117", Jean Dujardin vient de faire son entrée dans la cour des grands. Celle des artistes "bankables", dont le seul nom permet de financer un film. Grâce au rôle muet de George Valentin dans "The Artist", de Michel Hazanavicius, il devient le premier comédien français oscarisé. "Cette visibilité internationale lui ouvre de nouvelles perspectives, tant sur le plan artistique que sur le plan commercial", commente Paul Morizet, responsable Europe et pays émergents de GreenLight, filiale de Corbis (groupe Bill Gates) et agence spécialisée dans le celebrity endorsement. Entretien.

Quel va être l’impact de l’Oscar décroché le 26 février à Los Angeles par Jean Dujardin sur son image et sa valeur commerciale ?
Il ne rejoint pas la fameuse A list, qui regroupe les stars mondiales comme George Clooney, Brad Pitt, etc. dont les émoluments annuels peuvent atteindre 70 millions de dollars (pour Johnny Deep, par exemple). Mais il acquiert une visibilité internationale sur de nouveaux territoires qu’il n’avait pas jusqu’alors, même si c’est un artiste connu en France. Reste à savoir s’il trouvera une marque avec laquelle il se sentira des affinités. Dans l’Hexagone, son image est gérée par son frère, avocat. Aux États-Unis, il vient de signer avec WME (William Morris Endeavor), une des plus puissantes agences de talents hollywoodiens, qui gère la carrière de stars comme Robert De Niro, Clint Eastwood, Matt Damon ou Ridley Scott.
De notre côté, nous avons reçu des preuves d’intérêts pour cet artiste venant de marques américaines haut de gamme. Peut-être suivra-t-il le même chemin que Marion Cotillard, devenue l’égérie de Dior après son Oscar pour La Môme, ou encore de Juliette Binoche, ambassadrice de charme de Lancôme.

Comment les marques repèrent-elles les artistes qui peuvent incarner leurs valeurs ?

Certaines marques repèrent les futures perles rares très en amont des Oscars. Avant que le montant des contrats n’explose. Mais il faut pour cela disposer des structures et des compétences nécessaires. Il faut savoir comment fonctionne l’industrie de l’entertainment et du cinéma. Marion Cotillard, par exemple, n’était pas une inconnue pour LVMH, lorsqu’elle a signé son contrat, sur une base d’environ 2 millions de dollars, selon mes estimations. À titre de comparaison, le ticket d’entrée pour Johnny Deep est d’environ 6 millions de dollars.

Justement, sur quels critères repose la monétisation des acteurs ?

Ce qui compte avant tout, c’est leur notoriété et leur visibilité. Avec un Oscar, leur carrière internationale et leur visibilité montent en puissance. Ensuite, tout dépend des plans médias des annonceurs, de la communication prévue. Les tarifs varient énormément en fonction de leur exposition médiatique au service de la marque (sur des médias classiques, sur des supports viraux ?), du temps demandé (pour le tournage des spots, pour la présence à des dîners de bienfaisance, par exemple), de l’implication de la personnalité (s’agit-il d’intervenir et de présenter un produit, de porter des vêtements, etc.). Parfois, les stars ne demandent rien. Certaines décident de faire gratuitement la promotion de jeunes créateurs.

Quels sont les conseils que vous donneriez à un annonceur pour choisir la personnalité qui représentera sa marque ?

Il faut faire du sur-mesure. Il doit y avoir une véritable adéquation entre les valeurs de la star et celles de la marque. C'est indispensable.

Les réseaux sociaux, qui peuvent être source de révélation sur la vraie vie de ces icônes des médias, compliquent-ils les choix des annonceurs ?

Au contraire. Les réseaux sociaux jouent le rôle d'alerte préalable. Ils mettent en lumière très tôt des comportements erratiques, la personnalité cachée des stars. Ils rendent la sélection plus rapide.

Par Régine EVENO , 27/02/2012

lundi 27 février 2012

Saint Exupéry, portrait d'un lyonnais

 
Antoine Marie Jean-Baptiste Roger de Saint-Exupéry, né le 29 juin 1900 à Lyon et disparu en vol le 31 juillet 1944, Mort pour la France, est un écrivain, poète et aviateur français.

 Son expérience de pionnier de l'aviation et de pilote de guerre lui donnera toute la légitimité pour délivrer son principal message :

« C'est par le dépassement de soi que l'on devient un Homme ».





Né dans une famille issue de la noblesse française, Antoine de Saint-Exupéry passe une enfance heureuse malgré la mort prématurée de son père. Élève peu brillant, il obtient cependant son baccalauréat en 1917 et, après son échec à l'École navale, il s'oriente vers les beaux-arts et l'architecture. 


Devenu pilote lors de son service militaire en 1921, il est engagé en 1926 par la compagnie Latécoère (future Aéropostale) et transporte le courrier de Toulouse au Sénégal avant de rejoindre l'Amérique du sud en 1929. Parallèlement il publie, en s'inspirant de ses expériences d'aviateur, ses premiers romans : Courrier Sud en 1929 et surtout Vol de Nuit en 1931, qui rencontre un grand succès.

À partir de 1932, son employeur entre dans une période difficile. Aussi Saint-Exupéry se consacre-t-il à l’écriture et au journalisme. Il entreprend de grands reportages au Vietnam en 1934, à Moscou en 1935, en Espagne en 1936, qui nourriront sa réflexion sur les valeurs humanistes qu'il développe dans Terre des hommes, publié en 1939.

Pendant la seconde Guerre Mondiale, en 1939, il est mobilisé dans l'armée de l'air et est affecté dans une escadrille de reconnaissance aérienne. À l'armistice, il quitte la France pour New York avec pour objectif de faire entrer les Américains dans la guerre et devient l'une des voix de la Résistance. 

C'est au cours d'une de ces missions, le 31 juillet 1944, que son avion disparaît au-dessus de la Méditerranée. Saint-Exupéry est reconnu "Mort pour la France". Son avion n'a été retrouvé qu'en 2004.
 
Un an plus tôt est paru "Le Petit Prince", son oeuvre la plus connue, un conte poétique et philosophique. Le narrateur est un aviateur en panne dans le Sahara : il va rencontrer un petit prince qui s'interroge sur l'absurdité du monde des adultes. 

Ecrit à New York pendant la guerre, est publié avec ses propres aquarelles en 1943 à New York et en 1945 en France. Ce conte plein de charme et d'humanité devient très vite un immense succès mondial.


Voir ses citations : http://www.saintexupery.org/

La plus connue : "Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux."

vendredi 24 février 2012

Back to basics




















































mercredi 22 février 2012

"Au pays du sang et du miel" réalisé par Angelina Jolie


Titre original : In the land of Blood and Money
Réalisatrice : Angelina Jolie
Date de sortie : 22 février 2012 / Année de production : 2011 

Synopsis
Alors que la guerre fait rage en Bosnie, Danijel et Ajla se retrouvent dans des camps opposés malgré ce qu'ils ont vécu. Danijel est un soldat serbe et Ajla une prisonnière bosniaque retenue dans le camp qu'il surveille. Pourtant, avant le conflit, l'un et l'autre s'apprêtaient à vivre une belle histoire d'amour. C'était une autre vie, avant la barbarie. A nouveau face à face dans cet épouvantable contexte, leur relation devient complexe, ambiguë, incertaine.

Angelina Jolie au festival international de Berlin pour la diffusion en séance spéciale de son film, Au pays du sang et du miel, samedi.La célèbre actrice est venue défendre  son premier film long-métrage au festival international de Berlin en tant que réalisatrice. Attaquée par la presse serbe, elle défend son «interprétation artistique» de la guerre en Bosnie-Herzégovine.




Angelina Jolie était très attendue samedi à la conférence de presse de Au pays du sang et du miel, son premier long-métrage en tant que réalisatrice. Présenté en séance spéciale à Berlin, son film sur la guerre de Bosnie-Herzégovine et ses atrocités soulève déjà la polémique chez certains Serbes. Les blessures sont loin d'être cicatrisées. Angelina Jolie avait pourtant tenté de «sécuriser» le terrain en donnant des interviews la veille à la presse des balkans.

Samedi, elle était entourée des huit acteurs principaux de Bosnie, de Croatie, de Serbie, tous solidaires de leur réalisatrice qu'ils admirent. L'un d'entre eux, Goran Jevtic, qui n'avait que six ans à l'époque du conflit, a souligné en guise d'avant propos: «La controverse actuelle confirme combien nous sommes esclaves de notre histoire». 

Ce qui a été confirmé par l'intervention d'une journaliste de la télévision serbe reprochant à la star de cinéma de ne montrer à l'écran que l'armée serbe dans le film. Et Angelina stoïque de répliquer «Je montre la résistance des musulmans de Bosnie. En général ils n'étaient pas en uniforme. L'un des acteurs du film porte d'ailleurs les vêtements que son frère avait durant la guerre. 

Mon film n'est pas un documentaire, c'est une interprétation artistique. 

Il y a différents aspects à cette guerre. 

D'autres histoires encore seront racontées de façon différentes.» 

«Il fallait que le film soit dur à regarder»

Dans l'actrice devenue réalisatrice montre toutes les horreurs de cette guerre qui, entre 1992 et 1995, a coûté la vie à 100 000 personnes: scènes de nettoyage ethnique avec exécution et déportation de civils, boucliers humains, viols à répétition de femmes bosniaques perpétrés par des soldats serbes sans pitié à l'intérieur de camps spéciaux. 

«Quand on fait un film sur la guerre, on se demande toujours ce qu'on devra montrer ou pas», explique Angelina Jolie. 

Ce que vous voyez à l'écran n'est qu'une partie des horreurs subies. Mais il était de ma responsabilité, de mon devoir, de montrer combien cette guerre était atroce. 

Il fallait que le film soit dur à regarder. 

Certains moments ont été intolérables à tourner pour moi. En particulier la scène de l'assassinat d'un bébé. Je suis moi-même mère de six enfants et la mort d'un enfant est mon pire cauchemar.» 

Devenue ambassadrice de bonne volonté du Haut Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies depuis dix ans, elle trouvait essentiel de raconter cette histoire dans toute sa complexité.  

«Je voulais faire le film pour de bonnes raisons et ne pointer du doigt personne à l'exception de la communauté internationale! Mon but était d'essayer de comprendre ce qui était arrivé à ces personnes, à cette société. Et comment elles avaient changé durant les années de guerre. J'avais 17 ans quand cette guerre a commencé. Aux États-Unis, on savait très peu de chose à son sujet. Et c'est pourquoi j'ai voulu l'étudier. Mes acteurs qui viennent tous d'horizons différents et qui ont tous soufferts à cause de cette guerre m'ont apporté leur expérience pour rendre les choses réelles». 

«De tous les films que j'ai fait Au pays du sang et du miel est le plus important de ma carrière. Il est celui qui a le plus de sens pour moi et qui est le plus proche de mon coeur. Passer à autre chose va être très difficile.»

Par Emmanuèle Frois 

mardi 21 février 2012

Les Halles dans l'objectif de Doisneau


Robert Doisneau prend sa première photo dans le quartier des Halles en 1933. Il restera fidèle au quartier pendant 40 ans, revenant sans cesse visiter ce lieu, prendre son pouls, fixer sur le négatif les évolutions et les nouveautés.

Dans les années 1960, les Halles sont menacées, et Robert Doisneau, inquiet et en colère, entreprend de tout voir, tout vivre, tout photographier. Son regard, à la fois esthétique et sociologique, se fait patrimonial.
 

La marchande de fleurs, 1968 et La marchande des Halles, 1953. Copyright : Atelier Robert Doisneau

C’est l’effervescence en ce moment à l’Hôtel de ville de Paris. Deux monstres de créativité et de talent se côtoient en nos murs. D’un coté, un dessinateur, Sempé pour ne pas le citer, formidable sourire par le trait, de l’autre Doisneau.

Son amour pour les « petites gens » le rendait si merveilleux, que tout cela faisait de lui ce monstre d’humanité, tant apprécié, aimé.

Du talent, un vrai regard sur la vie. 

Sur les toutes petites choses de la vie, si essentielles, qui font que l’on existe. 

Un regard sur le quotidien d’une capitale qui ne saurait être oubliée tant le photographe fut présent dans les rues parisiennes. Oui, Doisneau est un homme que l’on admire.
Oui oui tout cela est vrai, si vrai. Tant de simplicité dans le regard, de générosité.
Mais alors quel est le sujet ?

Les Halles bien sûr ! Ses Halles. Sujet de l’expo. Nous y sommes.


Triporteur aux Halles. © Atelier Robert Doisneau

Doisneau a célébré ce quartier et ses pavillons Baltard comme personne. Seul ou accompagné, avec un autre Robert, Giraud par exemple, qui lui dédicacera « Le vin des rues » en 1955. Ou Prévert. Ce monde de petits métiers, des travailleurs, de café, des travestis, des sans travail, Doisneau en est l’acteur et le témoin. C’est autant de visages que de matins qui sont levés près de Saint Eustache que le « Doisneau des Halles » a fixé sur ses pellicules avant que fut détruit « Le cœur de Paris », resté longtemps « le trou » du centre de Paris.

 » J’y avais beaucoup d’amis, dans cette sorte de village j’étais photographe inoffensif considéré comme un doux maniaque, aussi je ne peux rien comprendre aux conceptions des technocrates imbibés de géométrie. (…) Tout ceci va diamétralement à l’inverse de ce que je venais chercher dans les nuits des Halles, j’y trouvais l’image même. (…)

L’église du village, Saint Eustache elle-même, était un mélange de styles et de parfums.(…) Et autour, une curieuse humanité dans une lumière de fête foraine, des rupins et des clochards, des chauffeurs routiers et des tireurs de diable, des bouchers et des clientes de Dior, des maraichers et des poivrots. Tout ce monde se disait « tu » et surtout flottaient une grosse gaîté et une bonne volonté, valeurs dont ne tiennent pas compte les ordinateurs électronique.(…)paris perd son ventre et un peu son esprit. Je me moque du noctambule qui n’y trouvera plus le bain de fraîcheur après les plaisirs frelatés de la nuit mais je pense à l’homme à la dérive, sans amis dans la ville endormie où les téléphones sont muets, il accostait aux Halles, un peu de chance, il y trouvait de quoi vivre ; un peu de chance encore, il était adopté. Ceci n’est pas une légende unique mais une histoire répétée cent fois en confidences de bistrot » Propos de Robert Doisneau, extraits de la préface du catalogue d’exposition.


Les Halles, la fête, 1968. Copyright : Atelier Robert Doisneau
C’est ce monde que nous présente l’exposition « Doisneau, Paris des Halles » et ses 208 photographies, la plupart « vintage » dont la première fut prise en 1933.



- Un Web Documentaire « Le destin des Halles de Paris » de Vladimir Vasak qui nous entraîne sur les traces de Robert Doisneau et sur l’histoire de ce patrimoine architectural et de sa vie battante. Une partie est à découvrir dans l’exposition.
Le documentaire est à apprécier ICI.



Redirection vers l’exposition (virtuelle pour le coup)   »Doisneau, Paris en liberté » de fin 2006, où nous entendons le photographe nous parler de  de son art.



EXPOSITION GRATUITE À L’HÔTEL DE VILLE
DU 8 FÉVRIER AU 28 AVRIL 2012
OUVERT TOUS LES JOURS
SAUF DIMANCHES ET JOURS FÉRIÉS DE 10 H À 19 H