samedi 28 juillet 2012

Le kiosque jeunes, bon plan pour les moins de 30 ans


La Mairie de Paris a créé les « Kiosques Jeunes », une antenne visant à offrir aux jeunes la possibilité de se rendre gratuitement aux théâtres.

En vous y rendant, vous pouvez récupérer 2 invitations pour une pièce de votre choix pour le soir même, le lendemain ou le sur-lendemain. 

3 adresses :
Kiosque Jeunes Le Marais – 14 rue François Miron – Paris 4ème (M° Hôtel de Ville / Saint-Paul)
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 19h – 01 42 71 38 76
Kiosque Jeunes Champ de Mars – 101 quai Branly – Paris 15ème (M° Bir Hakeim)
Ouvert du mardi au vendredi de 13h à 18h – 01 43 06 15 38
Kiosque Jeunes Goutte d’Or – 1 rue Fleury (Centre Musical Fleury Goutte d’Or-Barbara) – Paris 18ème (M° Barbès-Rochechouart)
Ouvert du mardi au vendredi de 11h à 13h et de 14h à 19h – 01 42 62 47 38

Testé et approuvé !

Les lunettes du futur, une innovation de fou qui fait un peu peur malgré tout !

Et si après les tablettes, les lunettes devenaient le nouveau terminal informatique à la mode ? C’est en tout cas, un champ de recherche qu’explore les plus grands noms de l’informatique, Google en tête. Nom de code: Projet Glass.

Le concept des lunettes du futur
Le concept est simple : connecter vos lunettes à Internet et ce servir des verres pour afficher des info-bulles en réalité augmentée. Mais les chercheurs ne s’arrentent pas là, il imaginent rajouter un microphone, une boussole, une webcam, un gps, un téléphone, un lecteur mp3 et une foule d’applications à commencer par des jeux interactifs massivement multi-joueurs.

Ces lunettes du futur pourraient servir à afficher des informations historiques sur les bâtiments pour les touristes, l’identité des personnes qui vous entourent pas reconnaissance faciale, les goûts et les dernières publications Facebook de vos amis afin d’avoir toujours un sujet de discussion pertinent lors de vos soirées geek, la direction de la station de métro la plus proche … Dans un premier temps, il y a fort à parier que la majorité des fonctions restent intégrées dans votre smartphone et que ces lunettes ne servent que d’écran déporté pour faciliter l’affichage des données.


Imaginez vous en 2020, vous vous promenez avec vos amis dans le rues de Paris et vous cherchez un restaurant. Vous interrogez alors vos lunettes grâce à la reconnaissance vocale et s’affiche alors une carte des établissements les plus proches et les mieux notés par les internautes. Vous optez alors pour ce petit indien qui semble avoir très bonne réputation et vos montures vous guident alors sur le chemin et vous propose même d’envoyer une réservation et de vous afficher le menu pour que vous puissiez vous décider sur le chemin. De plus, vous êtes sur d’avoir toujours votre appareil photo sur vous et vous pouvez ainsi flashcoder les affiches instantanément et réserver dans la foulée votre place de concert ou acheter en ligne le produit présenté dans la publicité.

Un danger pour la vie privée ?

Les personnes inquiètes par la prolifération des caméras de vidéo surveillance ne vont surement pas voir d’un bon œil la prolifération des dispositifs de surveillance. Car ne nous voilons pas la face, les premiers clients de ce nouveau type de lunettes seront sans nuls doutes les détectives privés et autres espions des services secrets car il sera alors beaucoup plus discret de prendre une photo avec ses lunettes que de cacher son appareil photo derrière un journal. Rajoutez à cela la démocratisation des drones grand public qui sont maintenant capable de filmer les situations les plus improbables et il deviendra alors impossible de bronzer topless sur la plage ou au bord de la piscine sans trouver les vidéos le lendemain sur Internet.

Une commercialisation compliquée
Mais, que les septiques se rassurent, nous ne sommes pas prêt de voir ces dispositifs disponibles pour les particuliers avant de nombreuses années. La première barrière est la difficulté de faire tenir toutes ces technologies dans une paire de lunettes tout en gardant un aspect esthétique qui ne donne pas l’impression à votre entourage que vous vous soyez transformé en “robocop”.
La deuxième est la législation, ce genre de dispositif reste pour l’instant considéré comme du matériel militaire ce qui risque de compliquer leur mise sur le marché, surtout en dehors des États-Unis. Ne parlons même pas des pays sous embargo comme la Corée du Nord, Iran, Afghanistan vers lesquels il est déjà interdit d’exporter une Playstation 3. Le troisième et pas des moindre est le prix puisque Google estime le prix de vente de Google Glass à 1500$.

Green Pizz, pizzeria bio et produits frais

Un endroit sympa pour déguster des bonnes pizzas avec des produits frais et bio, des mélanges substiles et originaux, une pate légère et craquante.
Ces pizzas sont un vrai régal !

 Adresse : près des grands boulevards, métro cadet
8 rue Cadet - Paris 9ème

vendredi 20 juillet 2012

Le café barge, très bonne cuisine et belle vue sur la Seine

Situé sur une péniche (fixé), le Café Barge est un lieu atypique et magique situé face à la Cité de la Mode et du Design. 
Ses grandes baies vitrées invitent à la découverte d'un Paris moderne et festif. 







Cuisine fine, ambiance festive le soir avec soirée dansante certains soirs, ce restaurant a tout pour plaire.
L'ambiance est à la fois chaleureuse et chic ce qui en fait un lieu privilégié à tester ! (pour des occasions)

Adresse : 5 port de la Rapée près de la Gare de Lyon

Un endroit sympa & paisible pour boire un verre entre potes

Le café A est un endroit très sympa pour boire un verre entre potes.

Ce café est niché dans la Maison de l’architecture, ancien Couvent, et se trouve à deux pas de la gare de l’Est  dans le Xe arrondissement de Paris. 

Le cadre à l'entrée est très joli et l'on n'imagine pas découvrir ce joli jardin : petit havre de paix agréable et chaleureux ! A tester !
 
Attention cet endroit est assez prisé, prévoir un peu d'attente ou arrivez en décalé vers 19h.

Adresse : 148 rue du Faubourg-Saint-Martin / 75010 Paris

lundi 2 juillet 2012

Le crépuscule des pharaons



Du 23 mars au 23 juillet 2012, l’art du dernier millénaire de l’histoire pharaonique (1070-30 avant notre ère) investit le Musée Jacquemart-André. 
Pour la première fois, une exposition dévoile les trésors de ces dernières dynasties au cours desquelles, au rythme des crises et des invasions, l’Égypte s’est ouverte à de multiples influences.  
Plus de 100 pièces exceptionnelles, prêtées par les plus grandes collections internationales d’antiquités égyptiennes (l’Ägyptisches Museum de Berlin, le British Museum, le Musée du Louvre, le Metropolitan Museum, le Museum of Fine arts de Boston, le Kunsthistorisches Museum de Vienne…), témoignent de la richesse et de la diversité de l’art égyptien après les derniers Ramsès.


                                             Statue en or représentant Amon, 22ème dynastie

Le dernier millénaire de l'histoire pharaonique, une époque à découvrir

Durant les dix siècles qui précèdent la conquête romaine en 30 avant notre ère, l’Égypte fait face à une multitude d’invasions. Le pays est successivement dirigé par des rois libyens (XXIIe dynastie), des « pharaons noirs » d’origine nubienne (XXVe dynastie) et des Perses (à partir de la XXVIIe dynastie), avant que les Grecs ne leur succèdent lors de la conquête d’Alexandre le Grand en 332 avant notre ère.
Si la période est troublée sur le plan militaire et politique, l’art égyptien, nourri d’une longue tradition pharaonique, conserve tout son prestige auprès des nouveaux souverains étrangers qui s’en réapproprient les codes, en apportant une légère inflexion à certaines caractéristiques stylistiques. 
           
2e statue : Statue de Montouemhat, musée de Berlin

                               

1. Statuette en argent, 26ème dynastie, New York Metropolitan Museum
2. Isis allaitant Horus, 26ème dynastie, "faience"

 
Les vases canopes d'Horiraa, musée du Louvre.
Douamoutef, à tête de chien

Hâpy à tête de babouin
Amset à tête d'homme
Qebehsenouf à tête de faucon
  
 
 














Statue-cube appartenant au musée des beaux-arts de la ville de Paris (Petit Palais), en dépot au Louvre.


Loin de l’image décadente qu’on lui a longtemps associée, cette époque est celle d’un brillant renouveau artistique : sommet de ce millénaire, la période saïte (672-525 avant notre ère) est considérée comme une véritable renaissance de l’art égyptien. 
 C’est au cours de cette époque saïte, pendant la XXVIe dynastie, que l’Égypte regagne son indépendance, avant que le pays ne soit envahi par les Perses qui forment la XXVIIe dynastie.
Une prospérité économique accompagne cette période d’échanges avec les autres civilisations. Elle permet la construction d’importants monuments qui célèbrent la grandeur de la culture égyptienne.

Une production artistique exceptionnelle

Issus de tombes ou de temples prestigieux, sculptures et reliefs, sarcophages et masques funéraires, objets de culte et bijoux sont autant d’illustrations de l’art de cette période, qui mêle élégance des proportions, délicatesse des formes et sobriété des détails. Servie par une maîtrise éprouvée de la technique et un goût prononcé pour la pureté des lignes, la production artistique se distingue alors par des réalisations d’une perfection inégalée, tout particulièrement dans le domaine de la statuaire.

Tête d'Amasis, 26ème dynastie, musée de Berlin

                    

Du royaume des vivants au royaume des morts

Les Pharaons

Figure essentielle de l’art égyptien, le pharaon est mis à l’honneur dans la première salle. En dépit des bouleversements politiques, chaque nouvelle dynastie a pris soin d’asseoir son autorité en s’inscrivant dans la lignée des grandes figures pharaoniques. Cette galerie permet d’évoquer les différents modes de représentation du pharaon et de réunir quelques figures historiques de l’Égypte tardive : Chéchonk Ier, Psammétique II, Apries, Amasis, Nectanébo Ier, Ptolémée II…




 

 

 

 

 

 

 

Le monde des dieux

À côté des pharaons, les représentations des dieux sont également réunies dans l’exposition pour souligner l’originalité du panthéon égyptien. Autour d'Amon, d'Isis ou d'Osiris sont présentées de nombreuses divinités anthropomorphes et zoomorphes parmi lesquelles la célèbre statue de Bastet sous forme de chatte, prêtée à titre exceptionnel par le British Museum. 

                                      Déesse Bastet, sous forme de chatte

Les influences étrangères qui traversent pendant ces dix siècles l’histoire de l’Egypte mettent à l’honneur les dieux zoomorphes et favorisent le développement de certaines techniques artistiques : le travail de l’or en particulier connaît une période de très grand raffinement à l’époque des dynasties libyennes (Statue fragmentaire d’Amon, période lybienne, New York, Metropolitan Museum).




Le Royaume des morts

De splendides objets funéraires témoignent de l’opulence des sépultures et de la place centrale qu’occupe le culte des morts dans la création artistique (Grand masque funéraire, collection particulière). Trois salles de l’exposition sont consacrées aux tables d’offrandes, situles, stèles, bijoux et ouchebtis qui décoraient les sépultures ainsi qu’à la reconstitution d’une tombe complète avec l’ensemble de son mobilier funéraire dans la grande tradition des dynasties précédentes.



L'Egypte aux mille visages

La représentation du corps tient une place particulière dans la statuaire qui s’illustre par la variété et la finesse des figures masculines ou féminines. La statuaire atteint alors une qualité de représentation encore inégalée : les poses des orants dans le temple se diversifient (Statue-cube de Padishahededet, XXVIe dynastie, Dépôt du Louvre au Petit Palais), la morphologie des corps se précise (Statue « Dattari », XXXe dynastie, Brooklyn Museum, New York), les visages s’individualisent et atteignent un incroyable réalisme comme en témoigne la fameuse Tête verte prêtée à titre exceptionnel par le Musée de Berlin. 



2. La tête verte de Berlin

 Une grande importance est donc accordée au visage, qu’il soit expressif ou idéalisé. La diversité culturelle de cette Egypte sans cesse conquise ou libérée nous offre sur mille ans l’image d’une Egypte aux mille visages.

Gustave Caillebotte ou la photographie de la réalité

Gustave Caillebotte fut à la fois un peintre reconnu et un mécène généreux du mouvement impressionniste.

Il naquit en 1848 dans une famille très aisée qui bâtit sa fortune dans les textiles puis dans les biens immobiliers à l'occasion du re-développement du Paris du Baron Haussmann.
Ingénieur de profession, mais aussi ancien élève de l’École des Beaux-Arts de Paris, il rencontra Edgar Degas, Claude Monet, et Pierre Auguste Renoir dès 1874 et les aida à organiser la première exposition des Impressionnistes à Paris en 1874. 
En 1873, il hérite de la grande fortune de son père et sera financièrement indépendant pour le restant de ses jours. 

En 1875, souhaitant faire ses débuts publics comme peintre, il soumit une œuvre au Salon Officiel qui fut refusée, ce qui l'incita à exposer, soutenu par Renoir, dans le cadre -plus favorable- de la deuxième exposition du groupe impressionniste, en 1876. Ses œuvres et en particulier les "Raboteurs de parquet" y furent remarquées et appréciées. Il participera dès lors aux expositions ultérieures des Impressionnistes.

 Les raboteurs de parquet - 1875 - Musée d'Orsay, Paris

Riche et généreux, Caillebotte aidera financièrement tout au long de sa vie ses amis impressionnistes en leur achetant leurs œuvres à des prix élevés et en supportant les frais de leurs expositions. Il sera co-organisateur et co-financier des 3ième, 4ième, 5ième et 7ième expositions impressionnistes, auxquelles il participera. 

En 1881, il achète une maison avec jardin au Petit-Gennevilliers où il réalisera nombre de ses oeuvres. Horticulteur émérite, il correspond avec Monet à Giverny et crée des orchidées dans ses serres. 

Personnage aux facettes multiples, Caillebotte est également un régatier qui se passionne pour la vitesse et cherche à perfectionner ses bateaux. Architecte naval, il les dessine et les construit lui-même dans un atelier situé à l'emplacement actuel de la SNECMA. Il y créera de véritables pur-sangs du fleuve, aux multiples innovations (voile en soie, lest extérieur, coques aérodynamiques, etc.) avec lesquels il remporte de nombreux titres internationaux. 
 
Caillebotte peignit quelque 500 œuvres dans un style souvent plus réaliste que celui de ses amis impressionnistes. Le peintre s'illustrera particulièrement dans des vues des rues de Paris faites depuis des balcons élevés, dans des scènes de la vie ouvrière, dans des paysages naturels de jardins et parcs, et dans des scènes nautiques (sur la Seine à Argenteuil et sur l'Yerres).
Son souci du détail, ses notes colorées, et son rendu de la lumière font  de lui un grand peintre impressionniste à l'oeuvre originale et diverse.

 Rue de Paris par temps de pluie -  1875- Art Institute of Chicago

Le Pont de l'Europe

 Caillebotte fera don à l'Etat, dans son testament rédigé en 1876, de sa collection en ces termes :
"Je donne à l'Etat les tableaux que je possède ; seulement, comme je veux que ce don soit accepté et le soit de telle façon que les tableaux n'aillent ni dans un grenier ni dans un musée de province, mais bien au Luxembourg et plus tard au Louvre, il est nécessaire que s'écoule un certain temps avant l'exécution de cette clause jusqu'à ce que le public, je ne dis pas comprenne, mais
admette cette peinture. Ce temps peut-être de vingt ans au plus. En attendant mon frère Martial, et à son défaut un autre de mes héritiers, les conservera. Je prie Renoir d'être mon exécuteur testamentaire ..."
Caillebotte devait décéder en 1894 d'une attaque d'apoplexie. Les académistes, conduits par Gérôme, essaient alors d'empêcher l'entrée dans le patrimoine artistique de la France d'oeuvres impressionnistes qui furent constamment refusées au Salon Officiel - en particulier les oeuvres de Cézanne qui faisaient partie de la collection -, et l'Institut de France refuse dans un premier temps le legs Caillebotte aux Musées Nationaux français. 
En 1896, l'Etat autorisera les Musées Nationaux à sélectionner dans l'embarassant legs Caillebotte les toiles dignes de figurer au musée du Luxembourg.
Ceux-ci refusèrent parmi ces "dérives d'un art malsain" vingt sept tableaux sur les 67 de la collection et accepteront : sept pastels de Degas, huit Monet, six Renoir, sept Pissarro, cinq Sisley, deux Cézanne et deux Caillebotte - joints au legs par Martial Caillebotte après la mort de son frère - qui seront présentés dans une annexe du musée du Luxembourg en 1897.

L'exposition suscitera de violents remous et provoquera un scandale politique à l'instigation de Gérôme et dix-sept de ses collègues, membres de l'Institut. Le Sénat sera ainsi saisi de l'affaire.
  Boulevard des Italiens-1880 - Collection particulière

C'est ce don, que Renoir sut imposer à l'État après la mort de Caillebotte, qui permet aujourd'hui à la France de disposer dans son patrimoine d'œuvres majeures de Monet, Degas, Sisley, Renoir...Les oeuvres refusées furent pour la plupart rachetées par un certain Docteur Barnes dont la collection d'Impressionnistes est maintenant enviée par nos musées nationaux (Exposition de la Fondation Barnes au Musée d'Orsay en 1993-94) !
La collection ne sera intégrée au Louvre qu'en 1928, et se trouve aujourd'hui au Musée d'Orsay. 
CAILLEBOTTE et LA CRITIQUE de ZOLA
Zola , qui prendra le parti des Impressionnistes vilipendés par la critique et refusés par le jury du Salon, sera critique à l'égard de Caillebotte dont il dénoncera le réalisme photographique lors de la deuxième exposition impressionniste. Le peintre présentera les huit toiles suivantes : Raboteurs de parquet, Jeune Homme jouant au piano, Jeune Homme à sa fenêtre, Déjeuner, Après Déjeuner et deux Jardins. Zola commentera ainsi le talent de Caillebotte dans ses Lettres de Paris de juin 1876 :

"Caillebotte a exposé Les Raboteurs de parquet et Un jeune homme à sa fenêtre, d'un relief étonnant. Seulement c'est une peinture tout à fait anti-artistique, une peinture claire comme le verre, bourgeoise, à force d'exactitude. La photographie de la réalité, lorsqu'elle n'est pas rehaussée par l'empreinte originale du talent artistique, est une chose pitoyable".

Lors de la troisième exposition impressionniste de 1877, Caillebotte présentera les six toiles suivantes : Rue de Paris, temps de pluie , Le Pont de l'Europe , Portraits à la campagne, Portrait de Madame C ; Portrait et Peintres en bâtiments
 Le peintre, opposé à Degas, boycottera la sixième exposition. Il reviendra en force à la septième en présentant dix-sept toiles, malgré l'hostilité de Pissarro et grâce au soutien de Monet. Monet et Caillebotte ne participeront pas à la dernière exposition impressionniste de 1886.